Aujourd’hui, Taiseer fidèle auditrice de Basilic vous présente Bag Affair.
Peux-tu te présenter ?
Je suis Taiseer, j’ai 33 ans, nouvelle maman et co-fondatrice de la marque Bag Affair. J’ai des origines Egypto-Sudanaise, et aujourd’hui Bretonnes d’adoption depuis 9 ans : ) J’ai toujours aimé dessiner quand j’étais petite, mais j’ai laissé ce passion à coté en faisant mon travail de communication et puis en développement d’export. J’ai finalement retrouvé cette passion de dessin et design avec Bag Affair.
Comment est né ton projet ?
Le concept est né avec mon associée suite à notre recherche d’un cartable de travail qui soit à la fois pratique et esthétique pour la femme qui travaille et qui se déplace. Nous voulions trouver un sac qui soit préférablement sans cuir ni matières synthétiques ou plastique. Évidemment nos exigences n’étaient pas faciles à trouver dans le milieu de la maroquinerie conventionnelle.
Pourquoi as-tu cette volonté de t’engager, à ta façon, dans la protection de l’environnement ?
Parce que il n’y a pas trop le choix ! Le marché de la maroquinerie est limité en matière (cuir cuir cuir), ou plastique de matière synthétique. Pourquoi pas innover ? Nous avons décidé de le faire nous même avec des sacs pratiques et élégants qui nous ressemble et qui ne pèse pas sur l’environnement ni sur nos cohabitants herbivores !
Le porte-document imaginé par Taiseer
Deux phrases pour définir cette aventure ?
Une aventure passionnante créée par deux jeunes femmes bosseuses pour d’autre femmes bosseuses. Notre aventure est celle des militantes féministes car les femmes travaillent autant que les hommes mais il n y a pas vraiment un cartable adapté pour nous !
Que te réserve l’avenir ? Des projets futurs ?
Diversification de notre offre, et surtout le développement du façonnage du liège en Bretagne.
Enfin, un conseil à tous les auditeurs qui souhaitent, eux aussi, s’investir dans un tel projet
(associatif, entrepreneurial…) ?
De ne jamais penser que vous n’arriverai pas. Si vous avez une idée qui vous prive de dormir, il faut investir du temps pour l’étudier et la lancer.
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